
De plus, des formations très demandées par les salariés, comme
l’anglais, n’étaient pas éligibles. Or, «M. Rebsamen a reconnu que c’était une erreur», rappelle Olivier Haquet, fondateur d’ADomLingua. Elles ont été rajoutées depuis. L’inventaire des formations éligibles est régulièrement amendé et devrait connaître sa troisième version fin mai.
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